Les élèves de 5e2 rencontrent l'association Eau de coco
"Deux bénévoles de l'association Eau de coco sont venues dans notre classe pour nous faire découvrir le but de l'association: venir en aide aux populations de Madagascar. Nous avons des points communs: les enfants vont à l'école, ont une cantine et des vacances. Ils ont aussi des conditions de vie plus difficiles et un accès à l'eau restreint."
Angélique Rota, 5e2
" L'association Eau de coco nous a présenté la vie des habitants à Madagascar. Les habitants vivent dans de petites maisons où ils vivent à plusieurs et dorment à même le sol. Ils n'ont ni douche, ni cuisine et marchent pieds nus. Il y a un gros manque d'eau car il peut ne pas pleuvoir pendant 3 ou 4 ans. Les habitants sont obligés de faire attention. Ils creusent le sol pour avoir de l'eau. A Madagascar, il peut y avoir 30 à 40 élèves par classe. Ils vont à l'école à pied et n'ont pas de transport."
Rania Gharri, 5e2.
"Vendredi 27 septembre 2024, nous avons rencontré Catherine et Chantal. Elles sont bénévoles de l'association Eau de coco. Elles nous ont expliqué sa mission: accompagner les personnes victimes de pauvreté et d'inégalités. Nous avons parlé de Madagascar, plus particulièrement du Sud, dans une région où se trouve la ville de Tuléar. Catherine et Chantal nous ont passé une vidéo sur laquelle on voyait le manque d'accès à l'eau potable, ce qui apporte beaucoup de maladies. Eau de coco a construit deux écoles, l'école des Salines et l'école des Saphirs."
Pauline Vallerie, 5e2
"Eau de coco est venue nous présenter les conditions de vie à Madagascar. Eau de coco est une association qui aide les gens à Madagascar. Madagascar est une île très pauvre en Afrique. Les habitants de Madagascar n'ont pas l'eau courante, ce qui les oblige à creuser dans le sol avec des gobelets pour remplir des jerricans d'eau. Les enfants doivent beaucoup marcher pour aller à l'école qui est obligatoire cinq jours sur sept. Les gens à Madagascar boivent de l'eau non potable, ce qui peut leur donner des diarrhées. Ils ne sont pas non plus très bien nourris. Beaucoup habitent dans de petites huttes où ils doivent dormir tête-bêche."
Gabin Pernollet, 5e2