Au cimetière, nous avons observé plusieurs tombes de soldats qui sont morts pour la France. Certains des soldats morts étaient des frères.

Devant la mairie, il y a le monument aux morts où sont inscrits le nom des 87 enfants de Cluses morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. On a d’ailleurs pu voir certaines de leurs tombes au cimetière du Chevran.

À l’entrée du lycée, il y a une plaque commémorative avec les noms des personnes mortes pour la France.

Pendant cette visite dans Cluses, nous avons donc vu des objets et des photographies qui rappellent les souffrances des soldats mais aussi les pertes humaines causées par la guerre. Cela nous a permis de réfléchir sur les conséquences de la violence et donc de la nécessité de réussir à conserver la paix dans le monde. Voilà ce que j’ai retenu de cette visite.

Aïcha H., 3e7

J’ai retenu que le monument aux morts de Cluses avait été inauguré en 1923 et qu’il a changé à trois reprises de place au cours du XXe siècle. Au cimetière, il y a des tombes pour les morts pour la France sur lesquelles les associations déposent une bougie et un bouquet de fleurs le 11 novembre. La cocarde tricolore signifie que c’est une association qui s’occupe de l’entretien de la tombe. J’ai retenu que plus la tombe est grosse et imposante, plus elle a coûté chère. Des soldats français ont été enterrés en France, dans le cimetière de Cluses ou des cimetières militaires ; certains sont enterrés en Turquie.

Oubeyd G., 3e8

Vendredi, nous avons redécouvert Cluses et son histoire, avec les vestiges du patrimoine urbain liés à la Première Guerre mondiale.

D’abord, nous sommes allés au lycée Charles Poncet, anciennement l’école d’horlogerie, où une plaque avec tous les noms des étudiants et professeurs qui ont dû partir pour le front et qui y sont morts a été installée en leur honneur. Puis, un membre de l’association du Souvenir français nous a appris que Pierre Trappier a été à l’initiative de la construction du monument aux morts. Ce dernier a changé d’emplacement deux fois en 1920 et en 2017. Il a aussi été rénové. Sa construction a nécessité environ 35 000 francs. Sur le monument, il y a les noms des victimes clusiennes de la Première Guerre mondiale, de la Seconde Guerre mondiale et de la guerre d’Indochine. Il y a 4 plaques en bronze représentant des scènes de vie d’un soldat : la mobilisation, la défense, l’attaque et le retour victorieux. Ensuite, nous avons « visité » les tombes des soldats clusiens morts pour la France, ces tombes sont entretenues par l’association. Par exemple, j’ai vu la tombe des frères Chappaz qui sont morts pendant le conflit.

Louisa C., 3e7