L’association Eau de Coco raconte aux Cinquièmes le passage du cyclone Freddy à Madagascar et ses tristes conséquences.

Grâce aux personnes de l’association, j’ai appris que Madagascar avait vécu récemment un cyclone de grande et forte ampleur, qui s’appelle Freddy. Il a causé de nombreux morts et a détruit beaucoup de maisons. Les vents étaient estimés à 130 km/h. Il y a eu aussi des inondations dans les rues, la nourriture a manqué ainsi que l’eau potable, le réseau électrique ne fonctionnait plus.

J’ai appris qu’à Madagascar, tous les ans, il y a une saison des cyclones. Le plus dangereux est la montée des eaux.

Ibrahima K, 5e5

Pendant le passage du cyclone Freddy, les Malgaches n’avaient plus d’électricité, ni Internet. Ils avaient pu d’eau potable et de nourriture. Certains Malgaches se sont réunis dans des bâtiments solides comme des gymnases. Il y a eu beaucoup d’inondations à cause du cyclone. Beaucoup de maisons ont été détruites, des toits se sont envolés. Des pirogues ont été emportées : c’est un problème car c’est l’outil de travail des pêcheurs qui ont dû aller les récupérer en prenant des risques car la mer était agitée.

Anaëlle P. 5e5

Les habitants de Madagascar sont informés grâce à une application avant le passage du cyclone sur l’île lorsqu’il se forme sur l’océan. Ainsi ils ont le temps de voir quelle direction il va prendre et se protéger si c’est nécessaire.

Quand le cyclone est arrivé sur la ville, les habitants se sont regroupés dans le gymnase car c’est un bâtiment solide. Le cyclone est parti. Mais il est ensuite revenu avec plus de force : les habitations les plus proches des littoraux ont été emmenées par la montée des eaux.

Chad P., 5e5e

Le cyclone tropical Freddy a frappé Madagascar le dimanche 5 mars sur la côte Sud-Ouest avec des vents de 130 km/h. Puis le cyclone s’est retourné sur lui-même pour revenir à Madagascar encore plus fort que la première fois. Le cyclone a fait rage, beaucoup d’habitants ont tout perdu, les toits en paille ou en bambou se sont envolés, la montée des eaux a fait encore plus de dégâts. Des maisons de pêcheurs ont été emportées par les vagues, mais ce qui comptait le plus pour les pêcheurs étaient leurs pirogues car sans pirogue, ils ne peuvent plus travailler.

Les habitants ont été prévenus de la première vague du cyclone donc ils ont pu évacuer mais il fut moins fort que prévu. Lors de la deuxième vague, ils n’ont pas été prévenus car ce fut soudain donc ils n’ont pas évacués et le cyclone a été encore plus fort. Il a frappé toute la nuit. Arno, le bénévole de l’association qui est venu nous rencontrer, était dans un petit village de pêcheurs de Madagascar quand le cyclone est arrivé. Lors du passage du cyclone, il a eu très peur. Ensuite, pour retourner à Tuliar, il a dû marcher pendant une heure à pied puis il a pu prendre une pirogue pour atteindre sa destination ; la mer était très déchaînée et le chemin qu’il avait pris à l’aller était impraticable. À Tuliar, les habitants s’étaient réfugiés dans un gymnase : certains n’avaient plus rien, il y avait plus de 1000 personnes dans le gymnase. On manquait de produits d’hygiène et de nourriture. Il y avait tellement de monde à nourrir que même si on avait un peu de riz, cela ne suffisait pas en quantité et on ne savait pas où le faire cuire.

L’association Eau de Coco a fait des annonces pour récolter de l’argent et pour acheter du riz.

Jeanne G., 5e5

Le dimanche 5 mars, il y a eu un cyclone dévastateur à Madagascar. Les habitants n’ont plus eu ni eau potable, ni électricité. Le cyclone a fait des ravages, les habitants se sont réfugiés dans les édifices en pierre. De nombreuses maisons ont été détruites, des arbres arrachés et les inondations sont nombreuses. Les Malgaches n’ont pas anticipé le retour du cyclone quelques jours plus tard et donc la catastrophe s’est accentuée sous l’effet de cette surprise. Le cyclone a dévasté les pirogues des Malgaches et sans elles, ils ne peuvent plus nourrir leur famille car ils ne peuvent plus pêcher. L’association Eau de Coco essaie de récolter de l’argent pour aider les Malgaches.

Tiguide C., 5e5

Le cyclone tropical Freddy a balayé l’île de Madagascar le 5 mars 2023. Les vents ont été violents et ils ont dévasté l’île, surtout les littoraux. Les écoles de l’association Eau de Coco ont été détruites. Beaucoup de personnes ont eu des inondations dans leurs maisons à cause des fortes pluies. L’association Eau de Coco a essayé d’aider au mieux les Malgaches en distribuant de la nourriture et de l’eau potable ainsi que des produits d’hygiène. Ils vont devoir reconstruire les écoles et aider les personnes les plus démunies.

Yanis R., 5e5

Le cyclone à Madagascar a fait des dégâts immenses : des arbres arrachés, des maisons détruites, des inondations dans les rues, de nombreux morts. Le vent du cyclone a eu une vitesse de 130 km/h. Les Malgaches sont alertés que le cyclone va passer, ils sont évacués. Mais le cyclone qui était parti a repris de la force et il est revenu sur l’île en frappant plus fort. Donc il a fait encore plus de dégâts car son retour n’a pas été annoncé à la population. Arno était dans un petit village de pêcheurs et toutes les pirogues ont été emportées par le cyclone. Les pêcheurs ont dû prendre des risques pour essayer de les récupérer car c’est leur outil de déplacement et de travail, les pirogues sont donc essentielles.

Manon B., 5e5

Le 5 mars, il y a eu un cyclone à Madagascar : il a soufflé toute la nuit. Des écoles ont été inondées, les toits arrachés par le vent. Les habitants ont dû se réfugier dans un gymnase car les murs étaient solides. Les Malgaches n’avaient plus d’électricité et d’Internet. Ils ne savaient pas comment évoluait le cyclone, s’il devenait plus dangereux ou s’il se calmait, s’il allait vers leur village ou pas.

Safa T., 5e5

Le cyclone Freddy a frappé Madagascar et a fait beaucoup de dégâts dont des morts. Il a fait « la boucle », c’est-à-dire que le cyclone qu’on peut appeler aussi ouragan ou typhon est passé à un endroit, puis il est parti sur l’océan où il a repris de la puissance et il est revenu au même endroit avec plus de force. Cela a surpris tous les habitants qui savaient que le cyclone allait passer une fois, mais pas deux fois. À Madagascar, ils sont habitués aux cyclones mais c’est très rare que le cyclone fasse une « boucle ».

Tom C., 5e5

Le cyclone tropical Freddy a percuté la côte Est de Madagascar le 5 mars 2023. Freddy a frappé pour la première fois à 19h20. Au début, il n’était pas très puissant, même s’il y a eu 5 morts. Puis il a progressé vers le Mozambique. Il s’est reformé grâce aux eaux chaudes du canal du Mozambique et est revenu vers Madagascar pour frapper l’île une deuxième fois. Aucun Malgache ni aucun touriste n’était au courant car il n’y a pas eu de communication. Lors de son deuxième passage, Freddy a détruit plus de 4500 habitations. Il a causé une pénurie d’eau potable, de nourriture (qui était déjà dure à obtenir, même avant le passage du cyclone) et d’électricité. Les Malgaches de Tuléas ont pu se réfugier dans un gymnase pendant toute la durée du cyclone (une nuit entière). L’association Eau de Coco et l’ONG Bel Avenir ont pu offrir du soutien aux habitants en difficulté en distribuant de la nourriture, de l’eau potable, un abri d’urgence et des soins médicaux. Des cantines de fortune ont été organisées : plus d’un millier de repas ont été distribués.

Des pêcheurs ont mis leur vie en danger en allant sur la mer agitée pour récupérer leurs pirogues car sans elles, ils ne peuvent plus pêcher, ni nourrir leurs familles.

Les Malgaches ont dû construire des digues avec des sacs de sable, les écoles ont fermé car elles étaient dévastées et il y a une pénurie de riz. Il y a eu une dizaine de morts. Des appels aux dons ont été transmis dans le monde entier afin de pouvoir nourrir les habitants et reconstruire les bâtiments.

Lina M., 5e5

Les Malgaches ont subi le cyclone Freddy à deux reprises. À Tuliar, les habitants se sont réfugiés dans un gymnase car il était solide (construit en béton). Plusieurs habitations ont été détruites, les habitants se retrouvent sans abris. Ils manquent de tout : eau potable, nourriture, électricité, Internet… L’association Eau de Coco a fait un appel aux dons exceptionnels pour nourrir les familles malgaches et leur offrir des kits de survie et d’hygiène.

Juliette C., 5e5